Une légende en théorie Jurasienne parle d'une créature polymorphe. Fée pour certain, dragon pour d'autre, elle fascinait déjà les hommes à l'époque des druides.
D'après la légende la vouivre serait un serpent géant ailés, possédant pour certains un corps enflammé, et pour d'autres des écailles dorées. Parfois munie de pattes mais toujours avec une pierre précieuse incrustée dans le front. Selon les dires, il s'agirait d'un diamant, d'un rubis mais plus souvent d'une escarboucle.
Mais tous s'accordent à dirent que cette pierre magique apporterait la chance la prospérité et pourrait même changer les métaux en or comme la pierre philosophale (vous noterez la ressemblance avec la perle de sagesse des dragons d'orients). Cette pierre qui lui servirait parfois de troisième œil mais plus souvent d’œil unique ne manqua pas comme tous les trésors de susciter la convoitise des hommes.
Toujours d'après les légendes elle irait souvent (ou alors seulement aux environs de la Toussaint ça dépend des légendes encore une fois) se baigner dans une source ou une fontaine. Là elle enlève sa pierre qu'elle cache sous une pierre ou dans un buisson et prend l'apparence d'une femme à la beauté surnaturelle. C'est à ce moment qu'elle serait la plus vulnérable et où les hommes se risquent à s'emparer du trésors. Mais pour ceux qui n'ont pas disparus leurs cadavres ont été retrouvés tellement mutilés et calcinés qu'il suffisait de l'effleurer pour le faire tomber en poussière.
Dans les contes seules deux personnes auraient réussis à lui voler sont trésors ... mais pas pour longtemps...
Dans la première histoire. Un fermier un peu moins stupide que les autres connaissant les habitudes d'une vouivre eut l'idée de se cacher dans un tonneaux sertit de pointes acérées. Le tonneaux possédait un trous suffisamment grand pour y passer son bras afin de s'emparer du joyau. Quand la bête s'en rendit compte elle s'attaqua en vain au fermier et se blessa aux piques et finit par prendre la fuite.
Suite à cela le fermier put jouir d'une vie de riche bourgeois. L'histoire aurait pu s'arrêter là mais les gens oublient souvent la véritable fin de cette histoire. Un jour des voisins ont retrouver la ferme ravagée et le fermier ainsi que toute sa famille atrocement mutilés et l'escarboucle avait disparus. La vouivre avait récupéré son bien.
Dans une autre légende un roi avait confié son trésors à une vouivre avant de partir a la guerre (dans d'autres versions le trésors appartenait belle et bien à la vouivre).
Une femme particulièrement pauvre entendit parler de ce trésors par le biais d'un ermite. Celui-ci lui conseilla de ne prendre que ce dont elle avait besoin. Hors Or la paysanne se rendit à la tanière du dragons pendant que celui-ci s'était absenté le temps de ses ablutions et s'empara du plus d'or qu'elle put emporter. Mais à son retour dans son fouiller foyer son fils avait disparus. L’ermite lui dit que la vouivre lui avait pris son enfant pour la punir de sa cupidité et lui conseilla de rendre l'or au dragons un ans et un jour plus tard. Ce qui fut fait, ainsi la femme pu retrouver son enfant en parfaite santé.
La vouivre intervient dans beaucoup de conte jurasiens, parfois dragon, parfois également comme épouse d'un seigneur et mère d'un héros. (je ne me souvient plus du compte exacte mais dès que j'aurais retrouvé mon livre je vous le retranscrirais.)
Comme dit plus haut la vouivre inspirait déjà les druides du temps des celtes, qui voyaient en elle l'incarnation des énergies telluriques et de l'énergie vitale qui coule en chaque être vivant. Ce n'est pas pour rien si le serpent est la représentation de la médecine dans la majorité des cultures !
Elle serait liée à la fois à l'eau et au feu.
Dans "le grand bestiaire des légendes" de l'illustratrice Séverine pineaux, publié chez l'édition "au bord des continents" il y a une petite astrologie qui fait intervenir la vouivre :
Novembre - Mois de la Vouivre
En novembre se fissurent qui séparent le monde des esprits et celui des vivants. C'est là que ce faufile la vouivre. La lueur de son rubis enchante les nourrissons du mois de novembre, les ondulations aquatiques de son corps enseigne les forces vitales courent sous la surface de la terre. Cela peut en faire des artistes des chamans ou des psychanalystes ou simplement des personnes très intuitives.
Sources :
La collections dragons et créatures fantastiques éditions atlas
Le grand bestiaire des légendes
Contes et légendes du jura (Patricia gaillard)
La grande encyclopédie du merveilleux (Edouard Brasey)
D'après la légende la vouivre serait un serpent géant ailé
Mais tous s'accordent à dire
Toujours d'après les légendes elle irait souvent (ou alors seulement aux environs de la Toussaint ça dépend des légendes encore une fois) se baigner dans une source ou une fontaine. Là elle enlève sa pierre qu'elle cache sous une pierre ou dans un buisson et prend l'apparence d'une femme à la beauté surnaturelle. C'est à ce moment qu'elle serait la plus vulnérable et où les hommes se risquent à s'emparer du trésor
Dans les contes seules deux personnes auraient réussi
Dans la première histoire. Un fermier un peu moins stupide que les autres connaissant les habitudes d'une vouivre eut l'idée de se cacher dans un tonneau
Suite à cela le fermier put jouir d'une vie de riche bourgeois. L'histoire aurait pu s'arrêter là mais les gens oublient souvent la véritable fin de cette histoire. Un jour des voisins ont retrouver la ferme ravagée et le fermier ainsi que toute sa famille atrocement mutilés et l'escarboucle avait disparu
Dans une autre légende un roi avait confié son trésor
Une femme particulièrement pauvre entendit parler de ce trésor
La vouivre intervient dans beaucoup de conte jurasiens, parfois dragon, parfois également comme épouse d'un seigneur et mère d'un héros. (je ne me souvient plus du compte exact
Comme dit plus haut la vouivre inspirait déjà les druides du temps des celtes, qui voyaient en elle l'incarnation des énergies telluriques et de l'énergie vitale qui coule en chaque être vivant. Ce n'est pas pour rien si le serpent est la représentation de la médecine dans la majorité des cultures !
Elle serait liée à la fois à l'eau et au feu.
Dans "le grand bestiaire des légendes" de l'illustratrice Séverine pineaux, publié chez l'édition "au bord des continents" il y a une petite astrologie qui fait intervenir la vouivre :
Novembre - Mois de la Vouivre
En novembre se fissurent qui séparent le monde des esprits et celui des vivants. C'est là que ce faufile la vouivre. La lueur de son rubis enchante les nourrissons du mois de novembre, les ondulations aquatiques de son corps enseigne les forces vitales courent sous la surface de la terre. Cela peut en faire des artistes des chamans ou des psychanalystes ou simplement des personnes très intuitives.
Sources :
La collections dragons et créatures fantastiques éditions atlas
Le grand bestiaire des légendes
Contes et légendes du jura (Patricia gaillard)
La grande encyclopédie du merveilleux (Edouard Brasey)